tisdag 15 december 2015

Reportage de réflexion


Développent personnel
Étant donné que j'avais déjà été à l'étranger une fois avant, en 2012, je n'étais pas particulièrement inquiète ou nerveuse pour mon année en France. Ma première expatriation était assez difficile, donc je pensais bien que cette nouvelle expérience en France ne devrait pas être très difficile. Les raisons en sont, tout d'abord, que j'étais beaucoup plus jeune que maintenant, de plus, je n'avais jamais vécu loin de chez moi et de ma famille plus d'un mois à la fois. Il a fallut également que je trouve un emploi, un appartement et de nouveaux amis. C'était extrêmement difficile au début, mais maintenant, trois ans plus tard, je vois Edimbourg comme ma résidence permanente.
Avec cette expérience dans mon bagage, je me sentais très confiante et je savais que je ne devais rien craindre au sujet de mon année Erasmus. Contrairement à mon séjour à Edimbourg, je savais déjà trier les choses les plus importantes. Je savais déjà où est-ce que j'habiterai, donc je n'avais pas besoin de chercher de logement et je connaissais déjà quelques personnes  qui allaient à Nice tout comme moi.
Bien entendu, ça devrait être différent en quelque sorte, étant donné que la France est un pays complètement différent. Avant mon arrivée en France, j'avais déjà été à peine en France et j'avais entendu dire que Nice était une belle ville, mais aussi qu'elle était très chic et que le niveau de vie y était assez cher. Je me suis rendu compte, que ces dires étaient complètement vrais. Mon appartement est situé en plein milieu d'une zone pleine de boutiques de luxe et près de la célèbre "Promenade des anglais"  où les hôtels de luxe y sont nombreux également.
Quant aux prix, cependant, je ne vois pas une trop grande différence avec ceux à Edimbourg ou en Suède. Comme pour les vêtements, la nourriture est à peut près similaire aux autres pays où j'avais habité auparavant. Je ne m'attendais pas à ce que les prix soient plus élevés,  comme je savais que Edimbourg, étant une capitale, et que la Suède a des prix assez élevés, en général. Dans l'ensemble, je pense que la vie quotidienne ici à Nice, est similaire à celle d'Edimbourg,  donc ça a été plutôt facile de s'y adapter.
Il est difficile d'analyser son développement personnel, d'autant plus que quand on est au milieu de celui-ci. Pour être franche, je ne pense pas que je me suis développée particulièrement beaucoup. Je sens que je me suis développé fortement la première fois que j'ai été à l'étranger, donc il n'y avait pas tellement de choses à développer cette fois-ci. Bien sûre c'est tellement bien de sentir que je peux me débrouiller seule dans un pays étranger, que je me sens bien dans ma peau, mais comme je l'ai précisé je l'avais déjà découvert cette partie de moi lors de ma première expatriation.

Je dirais que je suis un peu développée de tout de façon; par exemple aujourd'hui je sais exactement où je souhaite vivre et comment je veux vivre ma vie. Je n'ai plus le besoin de me déplacer maintenant dans différents endroits. Mes expériences m'ont permis d'y voir claire à présent. Ces mois à Nice m'ont confortés dans mon désir de vivre en Ecosse avec mon copain, et je me sens bien d'avoir celà confirmé. Si je n'étais pas venu en France, je ne pense pas que j'aurais été vraiment sûre de ce que je voulais.

Développement académique
Avant d'aller à Nice, j'avais décidé comme avant tous les autres semestres, tout au long de ma carrière universitaire, de faire de mon mieux et d'essayer de rester motivée. Dans ce but là, je me suis assurée que j'avais le matériel nécessaire, comme les papiers, stylos, mon ordinateur. J'ai également fait en sorte d'avoir un logement avec dans la chambre un bureau pour travailler pour avoir mon espace de travail. Je tenais à rester organisée tout au long du semestre et j'ai donc acheté un calendrier où je notais toutes les dâtes importantes, les semaines d'examens...etc. Tout ceci, bien avant que le semestre ai commencé.
Dès que le semestre a commencé, je voulais rester concentrée et organisée. Je faisais ainsi en sorte d'avoir mes horaires bien détaillés pour chaque semaine, quelles pages je devais lire pour mes cours etc. Cette stratégie a bien fonctionné tout au long du semestre, et contrairement aux semestres précédents, j'ai effectivement bien suivi mes plans. Je pense que ça a bien marché parce que je suis dans un nouveau lieu où, au moins au début, je ne connaissais pas beaucoup de mond, donc je n'avais tout simplement pas grand chose à faire, sauf étudier. Heureusement, la plupart de mes matières sont vraiments intéressantes, donc j'étais contente. Aprèsun certain temps, quand j'avais fait ami avec quelques camarades de classe,nous avons commencé à étudier ensemble. Je pensais que j'aurais été plus distraite en me faisant plus d'amis, maisheureusement ce ne fût pas le cas, car ils étaient tout aussi motivés que moi, et étudier ensemble est une partie favorable de ma routine.
Dans l’ensemble, je crois que l'enseignement est, en général, assez similaire à l'IPAG et Napier. Le nombre d'heures passées dans le campus sont plus ou moins les mêmes, il y a quelques essais par semestre, et les matières sont divisées en des conférences et des tutoriels. Malgré ceci, je me sens comme si je m’étais développée académiquement. Par exemple, il y a beaucoup plus de projets en groupe ici à l'IPAG. Ce que je n’aimais pas tant, mais plus je le fais, plus cela devient facile (sauf qu’un projet sur laquelle je vais écrire dans “les incidents critiques”).
Dans le but d'améliorer mon français, j’ai décidé que je devrais rencontrer des gens d’ici autant que possible. Avant mon départ, j’ai fais des recherches en ligne pour des clubs et  associations que je pourrais rejoindre, et comme je pensais que je serais plus susceptibles d’y participer si c’était quelque chose que j’aime bien, j’ai décidé de joindre un groupe de tricot, puisque c’est mon hobby. Au début j’ai trouvé assez difficile de se livrer à des conversations pour des raisons différentes. Par exemple, les femmes se connaissaient toutes avant, et elles principalement parlaient sur des amis communs que je ne connaissais pas. Après deux réunions, je sentais que ce n’était pas très enrichissant, sauf que c’était un excellent exercice d'écoute, alors je décidais avec l'une des filles là-bas qui a à peu près mon âge, de se rencontrer et tricoter juste nous deux. Il est maintenant beaucoup plus facile d'avoir une conversation donc régulièrement nous nous rencontrons pour tricoter ensemble et partager cette passion.


Tricot sur la plage
Un des mes projets



Recommandations
Je recommande aux étudiants qui veulent étudier à l'IPAG de commencer à chercher un hébergement le plus tôt possible. L‘IPAG n'a pas de logement pour ses étudiants, et la location privée peut être très coûteuse. J’ai trouvé une très belle chambre à un bon prix pour mon second semestre sur ce site: www.appartager.fr. Une chose à garder à l'esprit lors de la recherche pour un appartement est qu'il est très bien s’il est à une distance de marche de l'université.  Etant donné que le te temps à Nice est plutôt doux et méditerranéen, il n’y a pas besoin de dépendre des transports, et ça peut être bien de marcher dans la ville.
Un conseil que je voudrais donner aux étudiants qui souhaiteraient étudier à l'IPAG est d'être conscient que c’est un très petit institut, donc par exemple, il n’y a pas beaucoup d’associations. Il est donc bon de chercher d'autres moyens de socialiser avec des personnes à l’extérieur de l’école. Il y a un club qui appelle Erasmus Nice, avec de nombreux étudiants internationaux provenant de différentes écoles à Nice. Ils organisent différents événements sociaux, et c’est un excellent moyen de rencontrer de nouvelles personnes.
Une autre chose importante est d'essayer d'avoir un dialogue avec l'IPAG avant d'y arriver. Ils peuvent vous aider pour le logement et d'autres choses pratiques. J’ai remarqué aussi que beaucoup de choses sur le site de l’école étaient inexactes, par exemple concernant les dates de fin de semestre, donc il est important de réellement contacter le personnel et de demander toutes les informations nécessaires.

Voici une liste d’ adresses web utiles:
www.ipag.fr (l’adesse web de l’IPAG)
www.smc.fr (une banque qui a une bonne affaire pour les étudiants)
http://nice.ixesn.fr/ (le site web d’Erasmus Nice, ils ont une page dans Facebook aussi)
www.appartager.fr (l’adresse web de logement)



2 incidents critiques
Mon premier incident, n’était pas un incident en soi, mais une période de temps. C’était à la fin de septembre, après que mon copain m’ai rendu visite pour la première fois. Jusqu'à ce moment je n’avais pas vraiment senti la nostalgie, comme j’avais tellement été occupée avec l'inscription à l’école et il qu’il y avait la création des nouvelles classes, que c’était l’arrivée il y avait toutes sortes de choses à penser. Quand mon copain est venu me rendre visite un week-end, je me suis rendu compte à quel point il me manquait et que l’Ecosse me manquait terriblement. Tout était bien quand il était avec moi, je n’étais plus seule, mais quand il est parti, les jours suivants ont été difficiles. Je n’avais pas seulement eu le mal du pays, mais quand je suis retourné à l'école après ce week-end je eu beaucoup de devoirs qui devaient être terminés dans un court laps de temps. Ce moment a été difficile pour moi, autant psychologiquement que émotionnellement.
Après quelques jours, cependant, j’ai réussi à y voir clair de nouveau. J’ai divisé mon travail de manière structurée, et de cette façon il ne me semblait plus aussi impossible à gérer. J’ai fais des listes et des calendriers et planifié mon travail. Une autre chose que j’ai inclu dans ma planification était l’exercice physique. Je pensais que, si mon esprit ne se sentait pas très bien, au moins mon corps ne devrait pas ressentir la même chose. J’ai commencé à faire du jogging sur la promenade des Anglais, et cela m'a beaucoup aidé, je crois. L’utilisation du corps de cette façon me permettait d'obtenir des endorphines, et en même temps le fait de regarder les vagues de la Méditerranée était comme un remède pour moi.
Cette expérience m'a fait comprendre que la structure et l'organisation dans un moment de  stress était extrêmement importante pour moi. Pour être en mesure de réellement visualiser les tâches qui doivent être faites et ainsi de plus facilement les réaliser. Quand je fais cela, je suis souvent surprise qu'il y ai moins de choses à faire que j’avais imaginé, et cela me rendre soulagée. Un autre résultat de cette situation est que j’ai appris à apprécier que le bien-être du corps peut également aider mentalement.
Je ne pense pas qu'il y ait rien que je pouvais faire différemment dans ce cas, car ces émotions seraient venues quand même. Je suis simplement heureuse d'avoir appris à faire face à ces types de situations à l'avenir et ceci m’a fait grandir.







L’autre incident était académique. Dans ma classe de marketing, nous avons dû trouver une stratégie de promotion d’un nouveau produit pour un travail en groupe. Je l’ai fait avec deux autres filles qui étaient de Nice et du Nigeria. Comme je suis de Napier où il y a beaucoup d'étudiants étrangers, je suis habituée à travailler avec des gens d'autres pays et cultures. cultures. Je pense cependant que les autres filles n’y étaient pas si habitué que moi et je pense que le problème venait de là.
Comme on devrait présenter notre stratégie lors d’une conférence et pas pendant un tutoriel, je voulais le prendre aussi sérieux que possible. Je commençais à discuter avec les autres sur qui devait faire quoi, quand et où nous devrions avoir des rendez­vous réguliers pour examiner notre progrès. Je sentais que la fille française pensait qu’il était un peu ridicule de commencer planifier si tôt. Bien sûr, ceci m’a donné un peu de stress, mais je savais qu'il s’agissait juste une différence culturelle, et pas de la paresse qui lui faisait se exprimer de cette façon. Je commençais à travailler pour finir ma part dès que possible, car je ne veux pas que ça pèse sur moi, et je pensais que les filles allaient faire leurs parties au plus vite aussi.
Avec seulement quelques jours avant notre présentation, je n'avais pas encore
eu des nouvelles de la fille française, alors je lui ai envoyé un email pour demander dans où elle en était, mais elle me répondait qu’elle n'avait pas encore commencé son travail. Un jour avant la présentation, je commençais stresser, et car  comme je n'avais pas de nouvelles de la fille française, je commençais à devenir un peu ennuyé avec elle. Elle disait qu’elle allait faire sa part dans la soirée, et elle suggérait qu’elle pourrait également faire le powerpoint cette nuit afin qu’on l’ait avant la présentation.
Le matin, je n’avais toujours pas reçu le powerpoint, mais nous nous sommes rencontrées une heure avant pour jeter un coup d’oeil sur son travail. Il avait l'air
d’être correct, mais 30 minutes  avant la présentation, l’ordinateur portable est tombé en panne et ne redémarrait pas. Puis cette fille nous annonce, un peu suspecte, qu'elle avait un rendez­vous de dentiste ce jour-là et devrait nous quitter au milieu de la conférence.
Pendant la conférence, on était un des derniers groupes à présenter, et la fille française nous a donc laissé sans powerpoint à mi­parcours de la conférence. Le professeur nous a dit de faire le meilleur de la situation, donc nous avons décidé d’utiliser un tableau blanc à la place. Nous ne nous sentions pas très à l'aise avec cela, mais dans le but d'obtenir une marque, c’était ce que nous devions faire. Tout s’est bien passé, et le professeur a aimé que nous l’ayons réellement fait.
Cette expérience m'a appris qu'il faut toujours qu’on essaye de faire le mieux d’une situation et juste parce qu’on ne fait pas quelque chose d'une certaine manière, cela
ne signifie pas que c’est mauvais. J’ai aussi appris qu'il est parfois nécessaire d'être un chef de file sévère et exiger ce qui est nécessaire. J’ai également parlé avec le professeur pour expliquer la situation, et elle semblait de tout comprendre.



2388 mots

torsdag 26 november 2015

2 affaires actuelles

2 affaires actuelles en France

La situation des Juifs en France, 2015

Bref historique

Depuis la révolution Française dans les années 1700, la France a été le premier pays permettant aux Juifs d’avoir des les mêmes droits que tout citoyen. Cependant, au cours de la Seconde Guerre Mondiale, 70 000 juifs ont été déporté hors du pays (Rayman 2015).
Quand la France a décolonisé l’Algérie dans les années 1960, 90% des juifs qui y vivaient ont déménagé en France (Rayman 2015), et aujourd’hui la France a la 3ème plus grande population juive du monde (Le Figaro 2015).

2015
Depuis l’attaque dans la boutique kasher en janvier, plusieurs juifs ont ressenti qu’ils devraient quitter la France. Quelques jours après l’attaque, le premier ministre d’Israël a déclaré que les juifs migrants seraient bienvenus en Israël, selon Beaumont, 2015. De ce fait, la même année, le nombre de migrants en Israël a battu un nouveau record. La ministre de l'immigration en Israël avait déclaré que “plus de 30.000 nouveaux immigrants devraient arriver en Israël en 2015” (Le Figaro 2015). Pour la France, ce serait un désastre, selon Baeumont (2015), le premier ministre Français a dit que si 100 000 juifs quittaient le pays, la France ne serait plus la France, et la République serait jugée comme un échec. Il a également dit qu’il est extrêmement important que la France montre aux juifs qu’ils sont en sécurité et bienvenus ici. Cependant, d’autres sources affirment que la xénophobie est assez conséquente en France. Aujourd’hui, elle est principalement ciblé sur les musulmans et les Roms, mais les comportements de certains groupes montrent une ressemblance aux néo-nazis des années 1930 (Coquerel 2015).
Depuis, le magasin kasher ayant été attaqué a rouvert le 15 mars, afin de tourner la page, et de montrer qu’ils ne tolèreront pas que les terroristes “gagnent”. Cependant, le magasin n’a plus l'air d’une « épicerie locale normale » puisqu’il est désormais équipé de gardes armés, au cas où.
Récemment, en septembre de cette année, le CRIF (Conseil Représentatif des Institutions juives de France) a annoncé que le délégué interministériel de la France qui lutte contre le racisme et l'antisémitisme a déclaré que “le risque [d’une attaque terroriste] est aussi élevé qu’il l’était en janvier, sinon plus” (CRIF 2015). On voit donc que la situation est encore sous pression. La même source indique également que le gouvernement va mettre beaucoup de ressources en place pour lutter contre la racisme et l'antisémitisme. Une façon de le faire serait de règlementer –par exemple- l’usage d’internet pour éviter la propagation de discours incitant à la haine.


Langues regionaux

Un sujet assez fréquent en France est celui des langues régionales. Au fil des années, il y a eu beaucoup de discussion sur le pour et contre des langues locales. Selon Equy (2015), il y a 75 langues régionales en France et Outre-mer.
En 1999, une loi a été signé indiquant que les langues et traditions régionales devraient être protégés et propagés afin de promouvoir le patrimoine Européen. L’objectif étant que chaque français soit capable de parler ces langues à la fois en privé et en public. Cela a affecté les 2 millions d’habitants parlant ces langues régionales (Melvin 2014).
Cependant, au fil des années, la France a été critiqué pour ne pas avoir pris cette loi au sérieux et beaucoup de français, en particulier ceux qui parlent l’une de ces langues régionales, se sont senti déçus. Le problème principal étant celui de l’hypocrisie. La France a mis beaucoup de moyen en œuvre dans la promotion de sa langue principale à l’étranger, selon Melvin (2014), mais quand il s’agit de ses langues locales, ils n’ont pas fourni un effort assez conséquent. Ce qui pourrait justifier cela est qu’il est difficile d’enseigner une langue régionale puisqu’elles sont essentiellement destinées à un usage oral et manquent de structure avec des livres de grammaire et des dictionnaires. (Stéphan, 2015).
On remarque très clairement que pas assez d’effort est fourni pour promouvoir les langues régionales. De ce fait, une insatisfaction générale s’est développé. En septembre de cette année, le président Français a annoncé qu’il voulait ratifier la loi de 1999 de nouveau (Stéphan 2015). Cette décision a été soutenue par l’UNESCO, qui œuvre pour la préservation de différents types de patrimoine culturel. Elle a bien évidemment également été soutenue par les locuteurs de ces langues, qui ont manifesté dans tout le pays le 24 octobre afin de montrer leur soutien à cette ratification. Des milliers de personnes ont marché dans les différentes régions, mais malheureusement, leurs voix n’ont pas été entendue. En fin de compte, le Sénat a rejeté la ratification. C’était surtout les sénateurs de droite qui ont voté en faveur de cette ratification, 180 d’entre eux pour être précis. Tandis que les autres 153 sénateurs de gauche ont voté contre. (Ouest-France, 2015).
Selon Libération (2015), cependant, les Sénateurs Les Républicains avaient, la veille, proposé une loi en faveur des langues locales. C’est uniquement la loi de 1999 qui ne les l‘intéressaient pas car ils la trouvent inutile. Même s’ils ont souhaité paraître positifs, il est communément admis qu’il y a peu d’espoir pour les langues régionales. Brignon (2015), un écrivain pour l’Essor, déclare que “C’est sous l’angle patrimonial que le musée du Vieux Sain-Étienne aborde le franco-provençal.” Ce qui est une preuve que cette langue est une chose appartenant au passé.





Sources:


La situation des juifs en France

Rayman, N. (2015). ‘The history of jews in France in 6 key moments’ TIME Magazine 15 janvier. Disponible de http://time.com/3669544/history-jews-in-france/  Accedé [28 octobre 2015]

Beaumont, P (2015). ‘Netanyahu: Israel will welcome European Jews with open arms’ The Guardian 11 janvier. Disponible de http://www.theguardian.com/world/2015/jan/11/netanyahu-israel-european-jews-open-arms
Accedé [28 octobre 2015]

(aucune auteur) (2015). ‘La population juive retrouve un niveau proche de celui avant l’Holucauste’ Le Figaro 1er julliet. Disponible de http://www.lefigaro.fr/international/2015/07/01/01003-20150701ARTFIG00138-la-population-juive-retrouve-un-niveau-proche-de-celui-avant-l-holocauste.php Accedé [28 octobre 2015]

(aucune auteur) (2015). ‘Israël: l'immigration juive atteint un record’ Le Figaro 15 octobre. Disponible de http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/10/15/97001-20151015FILWWW00315-israel-l-immigration-juive-atteint-un-record.php Accedé [28 octobre 2015]

Coquerel, E (2015) . ‘Nous sommes tou-te-s des « Romanès » !’ l’Humanité.fr 6 novembre. Disonible de



Les langues regionaux

Equy, L (2015). L'éternelle querelle des langues régionales’  Libération 26 october. Disponible de http://www.liberation.fr/france/2015/10/26/l-eternelle-querelle-des-langues-regionales_1409034 Accessed [11 novembre 2015]

Melvin, J (2014). ‘Hypocrisy? France and its regional languages’ The Local 23 janvier. Disponible de http://www.thelocal.fr/20140123/in-france-there-is-only-one-language Accedé [14 novembre 2015]

Stéphan, B (2015). ‘Langues regionaux en péril’ lepopulaire.fr 12 septembre. Disponible de http://www.lepopulaire.fr/france-monde/actualites/a-la-une/on-en-parle/2015/09/12/langues-regionales-en-peril_11580716.html Accedé [14 novembre 2015]

(aucun auteur) (2015). ‘Langues régionales. Le Sénat enterre la Charte’ ouest-france.fr 27 octobre. Disponible de http://www.ouest-france.fr/langues-regionales-le-senat-rejette-le-projet-de-loi-de-ratification-3797924 Accedé [16 novembre 2015]

(aucun auteur) (2015). ‘Les sénateurs LR  déposent une proposition de loi pour promouvoir les langues régionales’ libération.fr 26 octobre. Disponible de http://www.liberation.fr/france/2015/10/26/les-senateurs-lr-deposent-une-proposition-de-loi-pour-promouvoir-les-langues-regionales_1409039 Accedé [16 novembre 2015]

Brignon, D (2015). ‘Langues régionales : des langues mortes ?’ l’essor.fr 13 novembre. Disponible de http://lessor.fr/langues-regionales-des-langues-mortes-12203.html Accedé [16 novembre 2015]